Chorégraphie : Catherine Diverrès
Collaboration artistique et scénographie : Laurent Peduzzi
Création musicale : Jean-Luc Guionnet
Interprétation : Ensemble Dedalus et Seijiro Murayama
Création lumière : Marie-Christine Soma assistée de Fabien Bossard
Costumes : Cidalia da Costa
Danseurs : Alexandre Bachelard, Lee Davern, Nathan Freyermuth, Harris Gkekas, Rafael Pardillo, Emilio Urbina, Pilar Andres Contreras et Capucine Goust
Musiciens : Didier Aschour, Cyprien Busolini, Stéphane Garin, Thierry Madiot, Christian Pruvost, Deborah Walker et Seijiro Murayama

S’inspirant d’une réplique de Michael Caine dans le film de 1969 de Peter Collinson L’or se barre, la chorégraphe Catherine Diverrès s’applique, dans cette création, à enfoncer ses propres portes. Habituellement fermée à toute « pliure » de son écriture chorégraphique à une partition musicale indépendante, elle confie exceptionnellement la composition de ce concerto mis en espace au musicien Jean-Luc Guionnet. Sur scène, huit danseurs et sept musiciens – représentés par l’Ensemble Dedalus et Seijiro Murayama – se font face. Avec une danse énergique, physique et exigeante d’un côté et un son en suspens et vibrant de l’autre, on assiste à une temporalité puissante de la rencontre entre les danseurs et les instrumentalistes. À la recherche de la rareté et de la délicatesse du pur instant, cette proposition entend ouvrir un autre espace-temps et déplacer la conscience de chacun.

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